• fr FR
    • en EN
    • fr FR

Laboratoire Ville Mobilité Transport

  • Le laboratoire
    • Présentation
    • Charte Environnementale
    • Axes de recherche
      • Axe 1 « Pratiques et représentations »
      • Axe 2 « Stratégies d’acteurs et action publique »
      • Axe 3 « Aménagement urbain et territoires »
    • Recrutement
    • Organigramme
  • Membres
    • Equipe de direction
    • Pôle gestion
    • Chercheur·euses et enseignant·e·s chercheur·euses
    • Doctorant·es
    • Membres associés
    • Autres personnels scientifiques
  • Recherche
    • Doctorat
      • La thèse au LVMT
      • Thèses en cours
      • Thèses soutenues
    • Projets
      • En cours
      • Terminés
    • Chaires
      • En cours
      • Terminées
    • Publications
    • Mots du LVMT
  • Contact

Benjamin MOTTE BAUMVOL

Ecole des ponts ParisTech - ENPC

Research gate

Biographie, parcours

- Depuis 2007, MCF à l’Université de Bourgogne Département de Géographie Laboratoire Théma

- 2006-2007, Post-doctorat à Montréal, Canada Laboratoire LASER Institut National de la Recherche Scientifique (INRS) Sous la direction de R. Shearmur et M. Polèse

- 2006, Doctorat de Géographie – Financement de l’Institut National de Recherche sur les Transports et leur Sécurité (INRETS) et de la Région Ile-de-France (RIF) Sous la direction de F. Beaucire et M.H. Massot

Thématiques de Recherche

- Espaces et populations périurbaines
- Dépendance automobile
- Disparités territoriales d’accès au commerce
- Inégalités face à la mobilité quotidienne
- Articulation mobilité quotidienne / mobilité résidentielle
- Différence de genre dans la mobilité

Thèse de doctorat

Titre de la thèse: La dépendance automobile pour l’accès aux services aux ménages en grande couronne francilienne

Résumé : La dépendance automobile pose la question de la norme socio-économique en matière de déplacements. En grande couronne francilienne, c’est l’automobile qui est déterminante en terme de localisation des services aux ménages et de l’accès de ces derniers à ces services. Le succès du supermarché et le déclin d’une partie du commerce de proximité sont notamment dus au renforcement constant de ce modèle, comme nous avons pu l’observer dans la période 1990-1999.

Ce constat nous a amené à considérer les ménages non-motorisés comme les principales victimes de la dépendance automobile. Mais cette appréciation doit être nuancée en fonction des territoires et des populations. Certains territoires sont en effet moins dépendants de la norme automobile tout comme une partie des ménages non-motorisés développent un système de déplacement alternatif à l’usage de la voiture, basé sur la solidarité entre proches qui compense partiellement leur absence d’équipement automobile.

Si d’une manière générale les ménages non-motorisés restent socialement marginalisés par leur non-participation au système automobile, les ménages motorisés ne sont pas à l’abri de ce risque. Nos observations montrent que les ménages motorisés ayant de faibles revenus sont contraints de limiter strictement le nombre de kilomètres qu’ils parcourent quotidiennement en voiture particulière. Une évaluation nous a montré qu’en raison de cette limitation, ce pourrait être près de 30% des ménages d’actifs motorisés qui ne pourraient accéder à la norme de mobilité automobile déterminée par les autres ménages.

Ma thèse en ligne: ici

Mentions légales | Gestion des cookies

LVMT © 2025 · Se connecter