Une fois n’est pas coutume, nous nous permettons de vous conseiller la lecture d’un article qui vient de paraître dans la revue « Carnets de Géographes ». L’auteur, Emmanuel Munch, a fait sa thèse au LVMT (le paradoxe de l’heure de pointe et des horaires de travail flexibles) et est actuellement en post-doctorat au DEST dans le cadre d’un projet financé par l’ADEME (Politiques de Mobilité Durable et Décélération). Cette recherche porte une réflexion sur les liens entre l’aspiration contemporaine à une décélération des rythmes de vie, et la mise en oeuvre de politiques visant une transition écologique des mobilités.
Dans ce cadre, l’article ci-dessous nous invite, en tant que chercheurs, à réfléchir à la question de la lenteur dans le processus de recherche, ainsi qu’à l’impact environnemental de nos activités professionnelles.
Réduire la vitesse et l’empreinte écologique des déplacements de terrain
Retour sur deux semaines d’itinérance à vélo entre 6 Cittàslow italiennes
Emmanuel Munch
Pour accéder à l’article: https://journals.openedition.org/cdg/6392